Créé en 2004, le dispositif Asalée s'appuie sur une collaboration entre médecins généralistes et infirmiers pour accompagner les patients atteints de maladies chroniques, notamment via des séances d'éducation thérapeutique. Aujourd'hui, plus de 2 000 infirmiers Asalée travaillent avec 9 000 médecins sur tout le territoire, grâce à un financement de l'Assurance Maladie. Malgré l'utilité reconnue du dispositif pour les patients, un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (…) Communiqués de presse / Communiqués de presse de Catherine Vautrin, Communiqués de presse Yannick Neuder
Avant sa nomination le 2 juillet 2025 au poste de directeur général de la santé, le professeur Didier LEPELLETIER, membre du Comité d'histoire des administrations chargées de la santé (CHAS), a publié sur le site du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) un article retraçant avec rigueur et clarté l'évolution de l'expertise sanitaire. Le Comité d'Histoire des administrations chargées de la santé se réjouit à cette occasion qu'un membre du comité soit ainsi distingué, et lui adresse ses (…) Actualités du CHAS
La direction générale de l'offre de soins (DGOS), avec l'appui de l'agence nationale de la performance sanitaire et médico-sociale (ANAP), publie 2 appels à manifestation d'intérêt (AMI) pour financer et évaluer l'expérimentation de solutions d'intelligence artificielle (IA) dans les établissements de santé et médico-sociaux. Ces AMI s'inscrivent pleinement dans la dynamique portée par la cartographie des leviers du numérique en santé et la stratégie IA et données de santé mise en (…) Communiqués de presse
Le Pr Solène-Florence Kammerer-Jacquet, pathologiste au CHU de Rennes, et le Dr Laurent Tréluyer, DSI de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF), ont remis à la mi-2025 un rapport ministériel sur la politique de numérisation de l'anatomie et cytologie pathologiques, appelé à structurer la transition numérique de cette spécialité médicale stratégique. Santé / Professionnels, Santé, Santé numérique
Construit à partir du référentiel national élaboré par la Haute Autorité de santé (HAS), le dispositif d’évaluation de la qualité des près de 45 000 établissements et services du champ social et médico-social se déploie depuis 2023. A l’issue des deux premières années de mise en œuvre de ce dispositif, près d’un quart des structures ont été évaluées par des organismes externes, l’occasion de faire le point sur les résultats et les évolutions à venir. Dans l’ensemble, si la qualité globale reste satisfaisante, des marges de progression subsistent. La HAS annonce par ailleurs que les résultats d’évaluation par structure seront rendus publics à compter de mi-septembre sur son service d’information en ligne Qualiscope.
Le mandat des membres de la commission recommandations, pertinence, parcours et indicateurs (CRPPI) arrivant à échéance, la HAS a renouvelé la composition de cette commission spécialisée, présidée par Claire Compagnon, membre du Collège de la HAS. Ce renouvellement est marqué par l’arrivée de 6 nouveaux membres, qui rejoignent les 18 membres dont le mandat a été reconduit.
L’infection à cytomégalovirus (CMV) est bénigne dans la majorité des cas. Cependant, si elle est développée pendant la grossesse, notamment pendant la période encadrant le début de grossesse, elle peut provoquer chez le bébé à naître des séquelles lourdes, telles que des troubles auditifs ou du développement cérébral. Actuellement en France, bien qu’un dépistage de l’infection chez les femmes enceintes soit réalisé de plus en plus fréquemment, il n’existe pas de recommandation en faveur d’un dépistage systématique pendant la grossesse. En 2018 puis en 2023, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) s’est en effet prononcé contre sa mise en œuvre, faute d’éléments suffisants pour en démontrer le bénéfice. Comme prévu par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024, le ministère chargé de la Santé a sollicité la HAS afin qu’elle rende un avis sur la pertinence de ce dépistage systématique. Aujourd’hui, la HAS se prononce en prenant en compte l’évolution des connaissances. Elle recommande au ministère chargé de la Santé de mettre en place un dépistage systématique chez les femmes enceintes dont le statut sérologique est inconnu ou négatif, sous réserve qu’un suivi et qu’une collecte de nouvelles données soient mis en place. Cette recommandation devra faire l’objet d’une réévaluation au bout de trois ans, sur la base de données qui devront avoir été recueillies d’ici là.
La HAS recherche un Adjoint au chef de service des ressources humaines H/F.